Cap sur 2025 : IPC investit dans un bâtiment de 2500 m² pour soutenir le développement de son site clermontois.

IPC, Centre Technique et Industriel expert dans la Plasturgie et les Composites, accompagne la transformation technologique et écologique des entreprises et de la filière. Qu’il s’agisse d’agir en R&D pour le développement de solutions innovantes en plasturgie et composites, d’assister l’industrialisation et l’amélioration des procédés ou encore de réduire l’impact environnemental des produits, IPC a pour objectif d’assurer la compétitivité des entreprises tout en favorisant une industrie plus durable.

Au total, IPC emploie 170 personnes déployées au sein de 5 unités chacune spécialisée et respectivement situées à Oyonnax (injection plastique, recyclage, conception), Alençon (biomatériaux, extrusion), Laval (procédés composites), Paris (bureau de normalisation) et sur le Biopôle Clermont-Limagne à Saint-Beauzire.

Présente sur notre technopole depuis 2017, le pôle clermontois d’IPC est spécialisé dans l’analyse des plastiques, avec une expertise particulière dans le domaine du contact alimentaire et de la sécurité des emballages. Ce secteur en pleine croissance génère une demande toujours plus forte avec à la clef des besoins grandissants pour cette équipe jusqu’ici locataire de l’hôtel d’entreprise.

IPC a donc choisi de programmer ses investissements immobiliers sur le Biopôle Clermont-Limagne avec la construction d’un bâtiment de 2500 m2 calibré pour accueillir 2000 m2 de laboratoires et d’ateliers. Dotée de nouvelles machines, les équipements actuels étant saturés par la demande, l’équipe de 19 salariés s’agrandira elle aussi pour compter d’ici trois ans une quarantaine de personnes. Le bâtiment, conçu de manière durable, sera une vitrine pour le centre, sa modularité permettant également d’anticiper de futurs développements.

Les travaux, dont les débuts sont prévus pour l’été 2025, devraient déboucher sur une livraison au 1er trimestre 2026. Ils représentent un investissement de près de 3 millions d’euros pour le bâtiment et 2,9 millions d’euros pour les nouvelles machines.